Rgis Job - les métiers de l'inventaire | SEEPH 2024 – Découvrez le témoignage de Claude
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SEEPH 2024 – Découvrez le témoignage de Claude

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Claude, inventoriste dans l’agence de Nancy

 

Après 30 ans de carrière comme jardinier, j’ai dû interrompre mon activité pour raisons de santé. Après trois ans d’inactivité, trouver un emploi qui corresponde à mes capacités physiques et cognitives semblait presque impossible. Puis, par hasard, je suis tombé sur des missions d’inventaire en intérim. Avec un petit escabeau et beaucoup de motivation, j’ai relevé le défi !

 

Dès le départ, des missions adaptées à mes besoins

À la sélection, mon handicap n’a pas été un problème et dès mon embauche, RGIS a pris en compte mes contraintes. Pas de charges lourdes, pas de travail penché, et la possibilité d’utiliser mon propre escabeau pour m’assurer un équilibre. On m’a même proposé des missions locales pour limiter les déplacements, un vrai soulagement. Plus tard, avec un véhicule adapté, j’ai pu élargir mon périmètre, toujours avec un accompagnement personnalisé.

 

Un cadre de travail bienveillant qui valorise mes compétences

Chez RGIS, je me suis senti écouté et respecté dès le premier jour. Mes responsables m’ont régulièrement demandé si les aménagements restaient suffisants, une approche qui m’a permis de gagner en performance et en sérénité au fil du temps. On m’a même proposé une formation pour devenir ATL, ce qui montre la confiance qu’on m’accorde. Même si j’ai décliné, j’ai apprécié cette reconnaissance. Ici, on ne met pas de limites à mes capacités.

 

Le handicap au travail : ma réalité

Mon combat au quotidien : briser les préjugés et démontrer que le handicap n’est pas un obstacle, mais simplement une différence. Mon escabeau n’est pas un simple accessoire, c’est mon partenaire de travail, mon outil d’adaptation qui me permet d’être pleinement performant. Mes collègues et mes responsables l’ont compris, et leur bienveillance me permet de travailler à mon rythme, sans pression inutile en reconnaissant mes compétences plutôt que mes limitations.

Le handicap est souvent invisible, complexe, mais jamais insurmontable, il suffit de construire ensemble un environnement de travail inclusif où chacun trouve sa place.

 

Pour une inclusion encore plus forte

RGIS fait déjà beaucoup, mais je sais qu’il est possible d’aller encore plus loin. Des outils avec des signaux lumineux pour les malentendants, des partenariats avec des organismes qui facilitent le recrutement et l’intégration dans l’emploi permettraient d’attirer encore plus de talents en situation de handicap. N’oublions pas qu’un salarié RQTH est souvent plus engagé et fidèle à une entreprise qui sait le soutenir !

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